DNB : « Les fintechs peuvent contribuer à la lutte contre la criminalité financière »

Prévention du blanchiment d’argent

Le membre du conseil exécutif de DNB et ancien président de l’ESMA affirme que la confiance dans le secteur financier aux Pays-Bas est déjà élevée. Les Fintechs pourraient renforcer encore cette confiance, en contribuant par exemple à l’efficacité de la lutte contre la criminalité financière. 

Chez Blanco, nous parlons avec des sociétés financières qui sont confrontées quotidiennement à une législation stricte en matière de lutte contre le blanchiment d’argent ou le financement du terrorisme. Nous connaissons le revers de la médaille : se conformer à ces lois peut être coûteux et mettre sous pression la rentabilité, voire les perspectives d’avenir des entreprises financières. 

Avec notre solution évolutive et automatisée pour les processus KYC, nous voulons vous aider à vous conformer à cette législation de manière rentable. Ainsi, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme sont contrés sans peser sur les perspectives d’avenir d’une entreprise.

Utilisation de l’intelligence artificielle (IA)

Les fintechs peuvent contribuer de diverses manières à la lutte contre la criminalité financière. Maijoor donne l’exemple de l’utilisation de l’IA pour vérifier l’identité d’un client à distance. Grâce à cette technologie, il est possible de vérifier si la photo figurant sur une carte d’identité correspond au client. Elle révèle également si la photo est celle d’une personne réelle et non d’une image photoshopée ou deepfake. Le module KYC de Blanco utilise cette technologie : avec l’application IA intégrée de notre partenaire Mitek, il devient possible de vérifier l’authenticité d’un passeport. 

Suivi des médias d’information

Une autre façon dont les fintechs peuvent contribuer à la lutte contre la criminalité financière est d’aider les entreprises financières à filtrer les médias défavorables. La connaissance et l’accès à des informations défavorables sur un client (potentiel) peuvent aider les entreprises financières à identifier des risques potentiels tels que la fraude, le blanchiment d’argent, le crime organisé, le trafic de drogue ou la corruption.

En raison du volume, de la vitesse et de la nature dynamique des informations, il est très difficile pour les entreprises de traiter et d’évaluer toutes les informations générées quotidiennement. En utilisant une technologie d’apprentissage automatique de pointe, toutes les informations peuvent être traitées efficacement et de manière fiable. Pour la fonctionnalité « médias défavorables », Blanco utilise ComplyAdvantage pour déployer cette innovation.

Crypto : un nouveau domaine

Les crypto-monnaies telles que le bitcoin ont fait couler beaucoup d’encre ; le Bureau central de planification (CPB) a même demandé l’interdiction de cette monnaie numérique. Le CPB a exprimé ses inquiétudes quant aux conséquences financières d’un crash des crypto-monnaies, mais les crypto-monnaies comportent également d’autres risques. Maijoor de DNB mentionne explicitement la crainte que les crypto-monnaies puissent faciliter les activités criminelles, une crainte partagée par les législateurs européens. Un rattrapage des lois et règlements pour les sociétés de crypto-monnaies ne devrait donc pas être une surprise.

Blanco propose déjà des solutions KYC intelligentes à un certain nombre de fournisseurs de crypto-monnaies afin que ce groupe puisse également se conformer plus facilement aux lois et réglementations. 

Enfin

Chez Blanco, il ne s’agit pas seulement de technologie. Nous croyons en la symbiose entre l’homme et la machine. L’innovation vous permet de vous conformer aux dernières législations de manière évolutive et rentable. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur ce qui est le plus important : vos clients.